plaisir-ecrire

Couplet 1
Le feu embrase tout ce qu'il y autour de nous,
Tu me retiens jusqu'au bout
Tes messages me motivent,
Lorsque tu me retrouves, nos corps dérivent
On m'a torturé ces dernières années,
Mais les regards se sont détournés
Des chaînes entravaient mon bonheur,
Je n'ai jamais pu goûter à la douceur
Tu es la seule à pouvoir compter sur moi,
Tu as envie d'ignorer les mirages d'autrefois
Plus jeune, les mecs passaient sans te parler,
Là tu rejettes les pourparlers
Tu te presses pour revenir à notre maison,
Parfois tu es à deux doigts de perdre la raison
Je t'escorte souvent avant d'aller en cours,
Mais le soir me semble plus clair avec tes discours

Refrain
Tu as tendance à te languir,
Ma présence est la seule voie de te guérir
Tes soucis me rapprochent de tes pensées,
Ces rimes pourraient être dépassées
J'ai parfois perdu la patience à force,
Mais je crois qu'un tournant s'amorce
Tes flèches rencontrent à chaque fois leur cible,
Je ne crois plus en l'inaccessible

Couplet 2
Tes pas s'éternisent à l'intérieur du salon,
J'ai parfaitement appris ma leçon
Un léger parfum s'éparpille,
Tu as envie de me toucher dans le mille
Je me rends lorsqu'il y a un reproche,
Mais ton charme se montre plus proche
Je ne sais jamais résister,
Nos cœurs ne peuvent pas être substitués
Tristesse,
Maladresse
Voilà ce que j'aimerais détruire,
Personne ne peut nous nuire
J'ai déjà laissé s'échapper ma chance,
J'en ai honte lorsque j'y repense
Tout a disparu par miracle,
Je fais souvent attention à tes remarques

Refrain

Couplet 3
La jalousie peut parfois m'envahir,
C'est un piège dont j'ai du mal à me sortir
Nos premiers rendez-vous furent étranges,
Je ne sentais pas ce mélange
Mais tout change avec le temps,
Je suis ton double depuis longtemps
L'automne m'effraie quelques fois,
Ces feuilles tombent mais ne sont pas le reflet de toi
J'ai eu du mal à te remarquer,
Pas mal de femmes aimaient bien me reluquer
Plusieurs voyages ont forgé mon identité,
Certaines blessures auraient pu être évitées
Ceci n'a plus aucune importance,
Une déesse a pu dévier n'importe quelle souffrance
J'ai passé des années à me torturer l'esprit,
Mais mon cœur, c'est bien toi qui l'aies pris

Refrain